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Quatre mots sur un piano...

17 Septembre 2014 , Rédigé par Eosadhoadjo Publié dans #Chanson

Quatre mots sur un piano, ceux qu’elle a laissés

Quatre c’est autant de trop, je sais compter

Quatre vents sur un passé, mes rêves envolés

Mais qu’aurait donc cet autre que je n’ai ?

Ne le saurais-je jamais

 

Cas très banal, cliché, dénouement funeste

Trois moins deux qui s’en vont, ça fait moi qui reste

Caresses, égards et baisers je n’ai pas su faire

La partager me soufflait Lucifer

Depuis je rêve d’enfer

 

Moi j’aurais tout fait pour elle, pour un simple mot

Que lui donne l’autre que je n’offrirais ?

Elle était mon vent, mes ailes, ma vie en plus beau

Etait-elle trop belle ou suis-je trop sot ?

N’aime-t-on jamais assez ?

 

(Deux) années belles à pleurer, maigre résumé

Cartes jouées mais la reine s’est cachée

Quatre millions de silences, de regrets qui dansent

Les questions, les soupirs et les sentences

Je préférais ces absences

 

Moi j’aurais tout fait pour elle, pour boire à son eau

Que lui donne l’autre que je n’offrirais ?

Elle était mon vent, mes ailes, ma vie en plus beau

Mais était-elle trop belle ou bien nous trop sots ?

N’aime-t-on jamais assez ?

 

(...)

Mais qu’aurait donc cet autre que je n’ai ?

Ne le saurais-je jamais ?

 

La partager me soufflait Lucifer

Depuis je rêve d’enfer.

JJ-Golman

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